83.0.1. La Commission doit s’assurer qu’un service de consultation est disponible pour toute personne victime de violence sexuelle ou de violence conjugale, qu’elle soit ou non financièrement admissible à l’aide juridique, afin de lui permettre d’avoir recours, à titre gratuit, à un maximum de quatre heures d’assistance juridique sur toute question de droit en lien avec la violence dont elle est victime.
La Commission peut, lorsque les circonstances le justifient, accorder à une personne victime un nombre d’heures supplémentaires.
2021, c. 322021, c. 32, a. 111.