Dans les soixante jours de l’acquisition par la Commission de transport de la Communauté urbaine de Montréal d’une entreprise de transport en commun visée à l’article 258 de la présente loi ou dans les soixante jours de la prise de possession de telle entreprise, advenant une acquisition par expropriation, toute municipalité auparavant desservie par cette entreprise peut, conformément à l’article 268, s’adresser à la Commission des transports du Québec pour faire réviser les tarifs des services de transports dont elle bénéficie.
Toute demande de révision visée dans l’alinéa précédent doit être instruite par préférence devant la Commission des transports du Québec. (1978, c. 104, a. 24).