334. Lorsque le président ne comprend pas la langue parlée par un ou plusieurs électeurs, il doit nommer un interprète, lequel, avant d’agir, prête, devant le président, le serment suivant:«Je jure (ou j’affirme) que je traduirai fidèlement les serments, déclarations, affirmations, questions et réponses que le président m’enjoindra de traduire, concernant cette élection. Ainsi que Dieu me soit en aide».